Percussion de la vieille survie qui se trouvait à bord lors de l’achat du bateau.
C’est un radeau en container de marque Avon, moins de 24h, pour 4 personnes. Plus d’une vingtaine d’années et un gonflage sans accroc. Bon dès le lendemain, il avait déjà une autre mine…
A bord, différents sacs à ouvrir et dedans en vrac : eau 5oo ml par personne en pochettes individuelles de 1oo ml, gobelet doseur, lampe torche, ampoule et jeu de piles, deux pagaies flottantes, un gonfleur, des pinoches en plastoc, un kit de réparation, une écope, des éponges, un kit de pharmacie, une ancre flottante, un couteau, un anneau flottant et son bout, fusées et fumigènes, un miroir de signalisation, un kit de pêche, des sacs étanches, des instructions de survie et signaux de secours, un sifflet…
Bon et qu’est-ce qu’on en retient ? Bah que tenir dans un tel radeau de survie ne serait-ce que quelques heures en mer aurait été un véritable exploit ! Chaleur, forte odeur de plastique renfermé, mélangées à une puanteur de moisissures, mouvements de houle… Dégueuli assuré !
Hum… Rassurant également qu’il se gonfle malgré sa date de péremption passée…
on ce rent vite compte lors d’un tel essaye l’importance d’un sac de complément et d’une balise avec GPS en hauturier, en côtier un simple « MAYDAY » au CROSS a la VHF (si elle fonction) et un
hélicot se met en route.
ces essaient et simulations sont indispensable! avant de prendre la mer et devrait être obligatoire!!
c’est a Vares, je serais bien curieus de savoir qui a tout ranger après… biz a vous deux!!
cyril
Bon courage pour un nouveau voyage.
on y est presque… à l’eau
amitiés
Angie