Le postulat : Notre barre à roue a du jeu et a tendance à craquer lorsqu’on s’en sert.
En avant donc pour voir ce qui se trame là-dedans.
Arf c’te grosse galère pour démonter la console de barre ! Tout est oxydé, on se demande s’il faut l’attaquer par dessus ou par dessous, on cherche le schéma introuvable, on imagine le pire…
C’est finalement en lui tapant très fort dessus que JR gagnera la bataille !
Une fois l’axe de direction sorti, on remarque que ce sont les trois étages de roulements qui sont tous pourris ! Celui d’en bas est le plus atteint, c’est simple les billes sont toutes en morceaux… Après remplacement des roulements, on en profite pour donner un petit coup de neuf à la colonne. Et après la couleur légèrement « coquille d’oeuf » du roof, voilà la couleur « poussin radioactif » pour la barre…
(Heureusement que ce n’est que le primaire… :)
Nous voici maintenant côté tribord. Ça trainasse un peu mais on s’y remet !
Ah ces derniers temps, ça n’a pas été vraiment facile de bosser dehors sur le pont. Entre la neige, les pluies et les températures trop glagla, on préférait laisser nos carcasses au chaud… Mais à présent, plus d’excuses car grand soleil et 15 degrés de moyenne sur Hendaye youhou !
(Et il y a aussi cette envie d’aller faire un peu de voile qui nous titille.
Viteuh viteuh qu’on en finisse de ces travaux… :)
Bon par contre, on observe déjà que le pont de ce côté ci a quelques ratés. Sa mise en place, et surtout l’application des joints de sika, a en effet été plus difficile du fait des conditions climatiques passées. Le scotch servant à protéger les lattes de bois est maintenant indécollable ! C’est donc à grands coups de meuleuse qu’on en vient à bout… Attention à ne pas marquer le bois !
Certaines portions de joints n’ont pas tenu, petites ces portions heureusement qu’on reprendra ensuite lors de la phase « retouches ». Le pourquoi du comment ? Peut-être que certaines lames étaient encore humides à ce moment là ?
JR a maintenant repris le chemin du boulot, réduisant ainsi le temps consacré aux travaux à bord… Allez encore un peu et on passe au pont du « roof arrière ». Cool notre annexe-parapluie (ou annexe-parafuites) va enfin pouvoir dégager yé !!! :)
Brrr… Temps frisquet hein en ce moment ! Et… Pour nos porte-monnaie ; bah c’est la même ! En effet, depuis une semaine environ, nous accusons pannes et casses à répétition youhou…
Tout a commencé par la télé qui nous refusait l’image (un mois après la garantie ; oui sinon c’était pas drôle), puis ce fut au tour de l’ordi qui a rendu l’âme après une malencontreuse rencontre avec du jus d’orange… Ok, là j’avoue ma maladresse. Bref, trop grosses réparations ; bons pour la poubelle !
Si ce n’était encore que ça… Mais non. V’là maintenant le chargeur de batterie qui refuse de faire son boulot. Impossible de savoir d’où vient le problème ; donc adieu ! Direction le ship du coin pour mettre la main sur un nouveau chargeur. On optera pour un Victron. Vite reçu, vite en place et vite de nouveau efficace.
Ensuite… Petite soirée tranquillou de début février à bord. Dehors on avoisine les 0°C, dedans il fait bon. Bientôt l’heure de filer au lit, je baille à m’en décrocher la mâchoire. Tiens, voilà un JR qui file dans la cabine arrière, qui trafique un peu sous le matelas et qui revient en s’écriant que le chauffage ne marche plus ! Ah non non non, pas le chauffag’euh ! Petit Eberspacher semble pourtant toujours ronronner mais c’est bien du froid qui sort maintenant des ventilos. M’sieur passe donc sa fin de soirée à chercher le comment du pourquoi, en vain. Il est tard, faut qu’j’rejoigne Morphée. Demain, je bosse encore de matin.
Réveil et humeur moroses. 12°C dans le bateau, il neige, j’embauche à 6h40 et je suis à la bourr’.
Finalement le lendemain, JR trouvera le problème. La console de commande du chauffage s’entêtait à nous marquer « P54 » ; erreur d’alimentation en gasoil ? En prévision du froid, le plein a pourtant été fait. Un démontage du circuit après… Et c’est en fait le filtre à gasoil situé à l’intérieur du chauffage qui était complètement encrassé. Nettoyage et la chaleur revient à bord, ouf !
Le surlendemain, idem, filtre encore encrassé. JR encore bon pour tout démonter.
Les emmerdes continuent.
Je suis en train de boire un café quand, soudain, un bruit d’explosion retentit ! Grosse frayeur car je viens juste d’allumer le four. Et le « boum » vient justement de là. Prudemment je m’approche pour couper l’arrivée de gaz et pour voir ce qu’il s’est passé. Dans la cuisine et dans la descente, pleins de morceaux de verre sont éparpillés ici et là ! J’ai laissé dans le four un plat en verre qui ne devait pas y aller ?? Euh non, nous n’avons pas de plat en verre ! Euh… Bah c’est en fait la vitre intérieure du four qui a explosé en milles morceaux ! Y’en a partout. Fais ch*er ! Bon y’a plus qu’à contacter le SAV d’Eno pour commander une nouvelle vitre pff…
Et pour bien finir la semaine : aujourd’hui dimanche : réveil houleux et pluvieux, direction mon café !
Café ??! Et non ! Haha ! Plus de gaz !! Rrrrrrrr….
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