Nouvelle écriture déterminée pour afficher le nom du voilier !
Elle viendra remplacer joyeusement le coup de marqueur fait à l’arrachée !
Il faut maintenant l’imprimer et la déposer dans un magasin afin qu’il nous la transforme en autocollant plus simple à mettre en place que la peinture.
PS : Le bateau est propre maintenant, même les voisins ont remarqué qu’il avait changé de couleur… !
Cyril et Amélie sont repartis samedi. Nous retrouvons notre petit quotidien et il faut reprendre les travaux ! Les « vacances » dignes de ce nom sont terminées avec la fin des escapades en mer. Une courte semaine caractérisée par des navigations, des ports, du soleil, la découverte de paysages et de sentiers inconnus…
Maintenant au boulot, il faut s’y remettre et ce n’est pas chose aisée.
Hier, nous avons trié toute la paperasse qui se trouvait à bord du bateau. Les deux tiers sont partis à la poubelle et nous avons pu remonter un peu dans l’histoire du voilier… Bon tout était en anglais et nous, bah, dans ce domaine, nous ne sommes pas très doués. Auparavant, Renaissance aurait donc connu deux autres propriétaires, deux noms « Lion’s Tale » et « Sam III », et également deux nationalités américaine et anglaise. Et et… nous avons retrouvé la notice du Lectrasan !! Victoire ! Oui mais en fait ça ne résolue pas vraiment le problème. En effet, cette foutue boite ne marche toujours pas…
Aujourd’hui, Jean-Rémy a fait une liste des choses à faire sur le voilier.
(A noter : serait-ce un semblant d’organisation ? )
– Consolider les pieds de chandeliers qui ont pris du jeu
– Faire l’encadrement intérieur des hublots
– Boucher les trous de la salle de bain
– Arranger les câbles au niveau du mât
– Vider, ranger, trier les placards de la coursive. Les terminer et faire les portes
– S’occuper des étagères, penderies..
– Terminer la cuisine en plaçant les baguettes d’alu
– Arranger le tableau électrique
– Travailler la cabine arrière (enceinte, éolienne, bossoir, câble…)
Bien. Mais le hic, c’est que la liste énoncée est fortement incomplète. Je citerai entre autres : terminer le plafond, réparer chariot de génois cassé, vernis et peinture, ponçage extérieur et marquer le nom du bateau, ponçage des portes de placards cuisine, cabine, système ventilant le petit frigo, organiser le coffre et puis le truc le plus galère : retirer tous les joins défectueux du pont et en refaire des propres…
Mais faire des listes et trier…
Est-ce vraiment bosser mdrr ?
(J’arrête de parler, je dois aller travailler sinon je vais me faire zigouiller….. :) ..;)
Dans quelques jours, nous serons deux de plus sur le voilier et il sera fort possible que nous entreprendrons une traversée direction la Corse ! Pas certain encore mais nous naviguerons surement si le temps le permet… Et qui dit voyage (si petit soit-il) dit également sécurité. Il va sans dire que notre chère annexe traînant au cul du bateau ou sur le pont ne sera pas gonflée cette fois-ci. Elle restera enfermée dans son grand sac bleu avec pour compagnie son unique rame. (Ah ?) Bref, il nous faut maintenant un radeau de survie…
Nous sommes samedi et il faudrait que la survie soit là pour mardi ou mercredi au maximum, des amis arrivant normalement à cette période-là. Nous partons alors direction les ship en quête d’une 6 places, hauturière et moins de 24h en espérant qu’ils en ont en stock. Pas de survie chez le premier magasin qui nous propose de commander. Ok commande passée, la survie devrait nous rejoindre milieu de semaine prochaine, nickel.
Nous choisissons d’opter pour un radeau hauturier Transocean 6 places en container Norme ISO 9650-1.
Dans l’aprem, nous recevons un petit coup de fil pour nous dire que ce ne sera finalement pas possible. On a le choix : faire le tour des autres boutiques ou acheter un modèle plus (très) cher ! Bon bah allez on fait le tour… Le deuxième magasin a une et une seule survie en stock, et pilpoil celle que nous cherchions. Victoire, on arrête les recherches, pliée, emballée, payée, byby et retour au voilier ! :) Merci au deuxième magasin qui a menti au premier magasin, pff encore une histoire de concurrence… Bon passons.
Maintenant, il faut la monter sur le support inox universel qui, on l’espère, l’est vraiment… Après quelques tentatives maladroites, c’est fait, la survie trouve sa place verticalement à côté de la porte.
Futurs tarifs pour les révisions de la survie chez Plastimo… Aïe !
Comparatif de huit radeaux hauturiers par Voiles et Voiliers par ici…
Stress, démoralisation, énervement, raz-le-bol… Courage au loulou…
Tout a commencé hier soir ou ce matin à 2h30, le petit frigo Waeco ne marchait plus ! Non, en fait, ça remonte à cette installation du traitement des eaux noires. Ce Lectrasan qui refuse de fonctionner… Et ce malheur de ne pas avoir de notice d’utilisation. En supposant et d’après l’ardue lecture d’un manuel anglais, le voyant rouge continuellement allumé traduirait une tension de fonctionnement insuffisante. Oui mais ? Il y a également un bug avec le pilote automatique qui bloque bien la barre en mer mais qui ne suit pas très précisément la trajectoire demandée et qui décroche rapidement…
Ensuite cette histoire de frigo qui nous tombe dessus ! C’est la cata. Le chef a passé sa journée a tenté de comprendre le pourquoi du comment, à s’énerver et à insulter ses circuits électriques, croyant à chaque anomalie découverte avoir mis le doigt sur la source du problème. Bidouillant dans ses fils, Jean-Rémy a tout repris avec un désir grandissant de tout envoyer balader.
Mais non, aucune solution pour remédier à ce dysfonctionnement pour le moment.
Bon le petit frigo marche avec le chargeur de batterie, bon on a le deuxième, bon ce n’est pas une catastrophe énorme en soi ; cela reste surtout un problème anormal et incompréhensible pour le moment !
Et je crois bien qu’un des deux vacanciers qui débarquent dès demain sur le voilier va être gentillement convié à revoir ses notions d’électronique et ses lois d’électricité… :)
Derniers commentaires