Week-end animé

Durant le week-end du 22 mai, le voilier a accueilli la mère de Jean-Rémy ainsi que des amis.

Par deux fois, nous sommes partis en mer. Le temps n’était pas terrible terrible.

Comme bien souvent, au port le vent soufflait bien même assez fort puis dès que nous sommes sortis, bah plus rien !
Nada !

Les rentrées au port avec toujours le même calvaire des deux poteaux, se sont très bien passées.
Un peu de stress comme d’habitude mais aucun souci…

< Oui, z’avez vu, ça soufflait sévère !

Premier jour de pluie

La pluie tombait, frappant le voilier de toutes ses gouttes. Bien à l’abri nous étions.

Du moins nous l’espérions. Et puis ce fut la révélation ! Des fuites ! Surtout au niveau de la descente, l’eau s’infiltrait à l’intérieur du bateau. Le petit hublot de la cuisine fuyait aussi car après analyse des dégâts, il s’est avéré un peu décollé…

Pas de grosse catastrophe, juste quelques gouttes donc du boulot à prévoir !

Drôle de ciel...

Et même sur le voilier…

On bosse !

Et oui, il y a encore pleins de trucs à faire (ou à refaire)… Exemples. Certains hublots fuient ou ne sont pas assez bien collés, il faut les retirer pour les recoller correctement afin de leur garantir une meilleure étanchéité… Et dur dur de les décoller sans fracas !  La régularité des joints est également à retravailler, bon on verra plus tard. C’est sur que pour le moment ça ne fait pas très net mais tant que ça tient correctement !

On travaille également la cuisine qui commence à ressembler à quelque chose… Trouvez pas ?

 

Pas l’choix, faut rentrer bosser

Petit à petit, nous nous faisons à notre nouvel environnement. Malheureusement, il est temps de reprendre le boulot…
Au revoir la madre (toujours en pleine action :)) et au revoir David, merci pour ton aide.


Jean Rémy reprend également la route direction la charpente.
Pour moi aussi, il est temps de rentrer à Arles dans mon chez moi. Vraiment pas envie de reprendre les cours après tous ces événements, la mise à l’eau, le Cap, ma première sortie en mer et celle du bateau, tout ce qu’il nous reste à faire…
Pas envie non plus de revoir tout le monde, de rentrer dans mon appartement plein centre-ville avec tous les abrutis qui hurlent dans la rue, les voisins qui mettent leur musique insupportable à pas d’heure…
Encore deux semaines à tenir avant de revenir.
Arf ça va être long…