Cool, on va pouvoir parler d’autre chose ! :) Aller, derniers mots là dessus. Je joue avec la peinture et l’anti-dérapant pour couvrir tout le roof. Le résultat est plutôt pas mal si on n’est pas trop pointilleux sauf peut-être le tout devant où ce n’est pas très droit. Con de scotch ! Soit il ne colle pas bien, soit c’est la misère pour l’enlever… Galère ! Pendant que je m’occupe de ça, JR termine la partie descente.
Tous les panneaux de pont sont changés, collés et vissés en deux temps. Cf la photo du hublot de la salle de bain avec son nouveau support surélevé ! On retravaille aussi le passage des câbles en pied de mât. Les anciennes prises de pont semblaient être le lieu favori des infiltrations d’eau et étaient source permanente de fuites. Problème réglé avec ce passe-câble en col de cygne !
Voilà il nous manque les deux mains courantes à faire. Le bois est déjà à bord.
Ensuite, je m’occuperai des quelques retouches à faire là où le scotch a déconné.
On attend encore du sika pour finir les joints manquants et pour terminer le siège du barreur et la partie bois de l’hiloire.
Et puis Finito parce que c’est sympa de « rafraichir » son bateau en lui donnant un petit coup de jeune mais il y a bien d’autres choses encore à faire, beaucoup plus utiles surtout ! :)
Départ toujours prévu mi-juillet…
Euh, bah dans une quarantaine de jours quoi haaaaa !
Reprises des nav’ ! Temps clair, légère brise, nous partons en fin de journée faire quelques ronds dans l’eau. A peine éloignés du ponton, je cris « Embata » en pointant du doigt les petits nuages qui coulent sur le Jaizkibel. Et merdouille… Je ne me doutais pas que j’étais dans le vrai ! Ahah, 10 minutes plus tard, nous sommes au milieu du chenal avec 25 nœuds d’ouest ! Des rafales font giter le bateau encore à sec de toile. La plage de Fontarrabie n’est que poussière, le sable vole de partout. Curieux nous décidons d’aller juste voir comment c’est en mer… 3 ris dans la grand voile ! Mer plate moutonneuse ! Un autre voilier s’éclate dans la baie. Un petit bout de génois juste pour équilibrer le bateau ?
Et là… Grosse grosse rafale dans ta poire, taaaaaa !
…
Bon on rentre ? :)
Faut croire qu’on avait pas tout bien arrimé à l’intérieur hum hum…
Suite et fin (non pas encore !) de nos travaux sur le pont. Nous enlevons l’hiloire qui surplombe le roof afin de pouvoir dégommer le bois en dessous. Winch et taquets coinceurs sont mis de côté. Monsieur râle les bras coincés sous les plafonds de la descente. Dessous nous découvrons un max de trous ! Effectivement notre descente pisse régulièrement lorsqu’il pluite… Mastic et au revoir sacrée passoire !
Quel bonheur ce serait si nous pouvions tendre vers un bateau au pont étanche…
On rebarbouille le tout d’Interprotect et maintenant place à la peinture… On en voit le bout !
Pendant ce temps-là, j’en profite aussi pour cétoliser le rail de fargue. Car si le Cétol Marine n’a pas tenu sur le pont piétiné sans interruption, on pense et on espère que cela devrait le faire pour cette partie du pont. Go pour 4 couches ! On aurait bien rajouté aussi du Cétol Marine Gloss pour l’aspect brillant mais impossible d’en trouver en France. Idem pour l’autre. Sikkens arrêterait-il sa production ?
Bon il nous reste quelques pots à finir…
En démontant les mains courantes du roof, une a pété ! JR doit s’occuper d’en faire des nouvelles…
Adieu bois pourri ! A poil le roof… On s’occupe de toi à présent :) Étape number 1 : on arrache tout et on bouffe de la poussière pour récupérer une surface plane !
Une fois le roof poncé et nettoyé, on s’occupe de reboucher tous les anciens trous. Y’en a tout un paquet, tu m’étonnes qu’on ait continuellement des fuites à bord… JR restrate sous la cadène du bas-étai pour consolider tout ça. Dans le même temps, il crée aussi l’entourage du panneau de pont de la salle de bain afin d’obtenir une surélévation du roof à ce niveau. Bizarre que ce panneau de pont ne possède pas ce truc anti fuite… Tous les autres l’ont !
Bon la suite pas du tout répétitive : mastic, ponçage, mastic, ponçage, mastic… C’est bon là ? L’interprotect est passé en double partout partout… Vite, délimitons les zones à peintre. On commence par les couches de Toplac ; ce qui va nous permettre de remonter l’accastillage et donc les plafonds du carré ! Nous récupérons donc notre espace intérieur ainsi que notre éclairage hourra…
Voilà l’boulot !
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