Auteur : René Van Bever
Parution : 2006
Durée : 87 min
Bande-annonce : par ici !
Une famille avec deux enfants de 9 et 11 ans décide un jour de changer de vie, de troquer une maison pour un voilier et de larguer les amarres vers l’aventure. La parenthèse durera six ans et le voyage les mènera autour du monde.
Embarquez sur le voilier CAREDAS et partagez leur vie de bourlingueurs des mers. Participez à cette longue route jalonnée de rencontres fortes et parsemée de dangers et de moments de pur bonheur. Des instants de vie à partager et à échanger avec les autres, à la découverte du patrimoine et des coutumes de ces contrées lointaines.
Cette histoire est celle d’une symbiose familiale et d’une aventure au long cours à la rencontre des autres et de leurs différences…
Un récit d’aventure sympa comme tout et qui donne naturellement envie de prendre le large le plus vite possible ! Des images superbes… à voir ! Par contre dommage qu’il n’y ait pas plus de détails techniques et administratifs. On aurait également aimé connaître le budget que représente une telle aventure !
(Et merci aux voisins ! :)
Qu’est-ce que ?
… c’est que cette chose ?
Ce qui se veut être l’énigme du moment trône fièrement dans l’avant-port et scrute la mer d’un regard euh… indéchiffrable.
Est-ce simplement une sculpture à l’effigie d’une mouette ?
La corne de taureau est censée rappeler la Camargue ?
Et puis ces deux vagues qui surplombent la statue…
Bref, est-ce une œuvre d’art qui place Port Camargue au carrefour de la mer, de la tradition camargaise et des chiures de goélands ?
(et puis d’abord, pourquoi on ne trouve rien à son sujet…?)
Aller, j’ouvre une nouvelle petite catégorie sur le blog, celle de la bibliothèque de bord ! Parce qu’elle est incontournable et surtout parce que c’est souvent grâce à elle que vient le désir de voyager en voilier…
Sur Renaissance, on trouve grosso-modo trois types de bouquins.
> En tout premier et en nombre, je citerai bien évidemment les récits de mer. Qu’ils soient contemporains ou non, ils sont inévitables. Ce sont ces lectures qui nous font rêver et qui nous permettent quelques moments d’évasion. A défaut de ne pas encore être partis, nous voilà déjà embarqués dans une chouette aventure (ou parfois un peu moins) mais qui entraîne toujours notre esprit vers d’autres horizons. Avec on s’étonne, on frissonne, on compare, on s’projette, on découvre, on s’informe, on vogue quoi…
> Ensuite, en fouinant sommairement, on mettra facilement la main sur un Orwell, Huxley et autres romans d’anticipation. Livres ou films (contre-)utopistes, on adore ça. Bon, j’vais pas m’étendre, on n’est pas là pour ça hein…
> Et pour finir, du côté de la table à carte, on trouvera tous les ouvrages nécessaires pour les navigations.
J’en reviens à mes moutons. C’est dans cette rubrique donc qu’atterriront nos dernières lectures marines. Je vous passe évidemment les classiques du genre Moitessier, Slocum et autres… Qui ont bien sur trouvé leur petite place sur le bateau.
Alors à vos binocles, c’est parti ! :)
NB : Si des coups de cœur vous avez, vos idées et avis je prends volontiers !
A présent, il faut s’attaquer aux façades des placards de la cabine !
Pour ça, nous sortons les deux façades ainsi que toutes les portes afin de pouvoir peindre et poncer librement. Il fait beau, les températures sont revenues un peu dans la norme et un petit
courant d’air nous ventile, bref il fait bon travailler. Petit à petit, le cockpit commence à ressembler à un foutoir géant !
Je retrouve mon copain le pinceau qui va m’aider à vernir deux fois toutes les portes ainsi que les façades. Pendant ce temps, Jean-Rémy reforme certains encadrements, fixe ses haut-parleurs et les portes sèches…
Nous devons aussi peindre l’intérieur des façades en blanc afin que la coque en aie une belle vue ! Hum…
Ensuite, monsieur remonte tout ; plafonds, portes, façades, fin ponçage de l’intérieur des placards, ajout de petits joints blancs …
Objectif « cabine arrière » du week-end atteint !
D’autres choses s’ajouteront à la liste des trucs à faire qui permettra de finir entièrement cette cabine : encadrement des hublots, découpage des coussins afin d’avoir des draps et de ne plus devoir dormir dans les duvets (car à la base, des lits séparés et à présent, un seul grand lit…), s’occuper des fonds de la penderie et du futur coin « buanderie » (s’il ne devient pas autre chose par la suite)…
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