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Mouillage Playa de Fanals

Au niveau du timing pour la Costa Brava, nous sommes dans les temps. Il nous reste à faire deux mouillages avant d’arriver sur Barcelone.

Aujourd’hui, comme avant-hier, nous avons cherché les coins paisibles où pouvoir jeter l’ancre mais rien du tout. Nous étions au moteur pendant toute la nav’.
Ah ! Nous avons croisé un autre Westerly sur l’eau, des anglais partis en vadrouille…

Nous voilà donc mouillé devant la plage de Fanals ouverte du nord-est au sud-est. Le vent devant souffler d’ouest durant la nuit, cela devrait bien le faire.

Ce mouillage n’a pas grand intérêt. Nous ne sommes pas très loin du chenal qu’empreintent les promène-cou*llons pour rejoindre la plage. Ils nous passent tout prêt tout l’après-midi ; hum je crois que nous les dérangeons un peu. Rien à faire, on est bien là si ce n’est qu’on verra plus tard que nous sommes juste à côté d’un pipe-line…

Nous passerons une pas très bonne nuit à gigoter autour de notre ancre. Le vent soufflera de nord nord-est, à croire que c’est comme ça toutes les nuits… Sinon, il aura fallu également surveiller le cata de balade discothèque chantant Manu Chao et Bob Marley tournant pas très loin de nous avec des trajectoires quelque peu accidentées… :)

Blanes n’étant pas très loin, la fin de la Costa Brava avec, au petit matin nous prendrons la décision de ne pas faire d’étape avant d’arriver à Barcelone. Les beaux mouillages ne sont plus là. Si demain, nous devons encore mouiller devant une plage, c’est bof et cela nous fera perdre du temps. Et cette houle qui semble nous apprécier…

Mouillage Cala Aigua Dolça

La bonne humeur était au rendez-vous ce matin. Le voilier et les zoulous à son bord se sont bien reposés et Eole est de retour ! Quinze nœuds de vent qui n’attendaient que de voir les voiles de Renaissance pour nous amener directement à la prochaine destination. Nous sommes passés devant les Iles Medas en enregistrant une vitesse de pointe à 7,1 nœuds heure. Enfin du vent et de la gite ! Bon ok y’a du vent et t’es content mais il vient toujours du sud / sud-est donc encore dans ta poire. Et vas-y que je te tire des longs bords et compagnie …

Bref, quelques temps après donc, nous sommes arrivés sur les Calas de Sa Tuna et d’Aiguafreda. Deux calanques superbes mais dans lesquelles nous ne pouvions pas mouiller car elles étaient occupées par une gigantesque zone de corps-morts.

Bon, allons aux suivantes : les Calas d’Aiguablava et de Fornells. Et là, rebelote ! Pfff, en plus d’être de bons abris, elles étaient pas mal du tout.

Les heures passent et les Calas doivent se remplir. On continue notre petit bout de chemin. Cala Tamariu : impossible, trop de corps-morts.

Cala Pedrosa : trop petite, il y a déjà quelques bateaux et des rochers se promènent au milieu du plan d’eau.

Mouillage devant la Bahia de Llafranch : corps-morts puis trop de profondeur.

Oh une petite Cala pratiquement vide. Nous faisons un tour pour sonder un peu les fonds. Pas de cailloux en vue, onze mètres, allé hop, on balance l’ancre. Il est 16h30, on en a marre de chercher et je me suis esquintée les doigts avec le guindeau. C’est dit ; cette nuit nous dormirons là.

Cette Cala se trouve dans la Cala Golfet, elle est entourée de falaises et possède une plage de galets sur laquelle il y a pas mal de monde. Ouverte du nord au sud, nous ne serons que peu protégés du vent sud sud-est annoncé mais qu’importe. Du moment que l’ancre tient…

Aujourd’hui donc : de la voile, de l’inquiétude de ne pas trouver de mouillage pour la nuit et un gros coup de colère contre ces zones de corps-morts étendues à leur maximum ! Zone le plus souvent privée ou zone payante, au choix…


Recherches qui ont permis de trouver cet article :

  • CALA AIGUAFREDA
  • mouillage hendaye

Mouillage Cala de Montgo

Nous sommes partis ce matin avec la brume et naturellement, nous n’avons eu juste qu’un petit vent en plein dans le nez ; de quoi démarrer le moteur. En route !

Renaissance rejoint une dizaine de ses congénères au mouillage. Cala de Montgo est une petite Cala plus paisible et plus jolie que d’autres. La roche prend une couleur rouge rosé qui contraste parfaitement avec le bleu turquoise de l’eau. On mouille par 10 mètres de profondeur devant la plagette et quelques habitations ont investi la pointe rocheuse.

Tiens, le promène-cou*llons du coin a mouillé pour le quart d’heure baignade de son équipage juste à quelques mètres devant. Avec le vent, il s’est retrouvé à côté  de nous puis juste derrière nous. Petite frayeur de le voir arriver sur nous ! On se dit que nan c’est pas possible d’être aussi … d’autant plus qu’il y avait plein de place partout dans la Cala ! Mais chapeau capitaine, tes passagers devaient être muy contents de nager coincés entre deux bateaux …

La nuit sera calme, et pratiquement tous les voiliers présents ce jour dormiront également au mouillage.

Mouillage Cala de Joncolls

Un saut de puce après, nous revoilà dans une cala !

Profonde celle-ci, il faut relativement s’approcher de la rive pour espérer un petit 15 mètres minimum de profondeur. Il y a déjà un paquet de monde. Nous ancrons Renaissance devant la plage à la limite de la zone de baignade. De l’autre côté de la cala, une zone de corps morts a été installée.

Il fait beau, il fait chaud, je me jette à l’eau ! Elle est un peu trouble alors impossible d’apercevoir l’ancre. Faut dire que nous sommes arrivés vers midi, et que là, peu à peu, la cala se remplit de bateaux à une vitesse incroyable. Nous comptons quatre voiliers pour une trentaine de bateaux à moteurs. Toujours beaucoup de Frenchy, des Espagnols et une énorme vedette italienne qui se fait bien remarquer…

Nous faisons nos pronostics ; combien de bateaux resteront au mouillage cette nuit ? Nous optons pour un « trois voiliers et deux moteurs ».

Verdict : Il ne restera plus que nous ainsi qu’un autre voilier français, c’est le pied ! :)

Avant…

Et après !