D’un mouillage à l’autre

On a eu chaud mais finalement ça l’a fait ! Annexe, débarquer, plage, cailloux, rouleaux… Ca vous rappelle quecqu’chose ?

Un beau matin, pris d’une envie d’aller nous dégourdir les gambettes, nous avons bondis dans l’annexe pour rejoindre la plage. Pas celle juste devant nous avec ses gros cailloux mais l’autre, celle d’El Medio, avec des moyens cailloux et un peu de sable… L’atterrissage s’est bien déroulé, (toujours !), mais une fois à terre, humm on se demande en regardant la mer si on aurait pas du s’abstenir de cette petite virée… La plage est raide et les rouleaux s’y fracassent avec grand bruit ! La m*rde. Bon on va marcher et on évite d’y penser ok ?

Balade sur le sentier des hippies, dans le barranco tout vert de bananiers, puis retour via la petite montagne harcelés par des mouches tenaces !

Papayer ?

On crève de soif, le soleil est brûlant. Arrivée sur la plage en sautant de cailloux en cailloux tout en manquant de se casser la binette ou de se tordre la cheville à chaque fois qu’il y en a un qui bouge. Les quelques plagistes du coin sont vraiment motivés :) J’ai retenue la leçon, l’APN étanche va-t-il faire son premier bain ? J’ai la trouille…. Et non héhé ! On a compté les vagues et on a grimpé comme des chefs dans notre piscine flottante yé !

Une fois à bord, on relève l’ancre pour aller se poser devant le joli village de Santiago. Le port de pêche est accueillant mais trop petit pour recueillir quelques voiliers de passage. Tout le monde mouille devant la plage de galets où la tenue est bonne. En ville, nous trouvons un Spar qui nous permet de faire deux trois emplettes ainsi qu’un wifibar parmi les quelques établissement du bord de mer… Les prévisions météo sont beurk ! Pas de vent puis un bon coup de sud ! Crotte, le Cap Vert, c’n’est pas encore pour maintenant…

Le mouillage de Santiago est cool mais plus agité que ceux juste à côté donc on repart. J’avais très envie d’aller voir cette fameuse conserverie de poissons désaffectée dans la Cala Cantera plus à l’ouest. Malheureusement, une fois sur place, on se dit qu’on ne peut définitivement pas mouiller là. C’est exposé à la houle, c’n’est pas très grand, les vagues se répercutent sur les rochers, et enfin, des pêcheurs ont installé un filet devant la plagette… Dommage, demi-tour ! Nous repassons devant Santiago où nous nous apercevons que tous les bateaux ont bougés derrière la pointe… On continue un peu pour s’arrêter à la Playa de Oroja où nous passerons la nuit.

Nuit qui sera venteuse, mais nettement moins que les prochaines hum…

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