On s’est planté

Brouillard au départ, brouillard à l’arrivée ! Mais sur les 30 milles qui nous ont permis de rallier la ria suivante, nous avons eu un peu de répit dans l’après-midi. 12 nœuds de vent nous ont continuellement accompagnés. Cool pour nos oreilles, pour notre bien-être et pour le budget carburant !

Après avoir contourné l’Isla Salvora, nous pénétrons donc dans la ria de Arosa, la plus grande et soi-disant la plus attrayante. Mouai. La soirée est bien avancée lorsque nous jetons l’ancre devant Santa Uxia de Riveira. Ce mouillage ne présente rien d’intéressant, le décor est moche tout comme les abords de la grande ville. C’est bruyant comme pas possible. La sirène de la caserne des pompiers ( ?) retentit toutes les heures même pendant les nocturnes ! On a un peu l’impression d’être tombés sur une ville soit en état de siège ou soit en train de cramer de tout les côtés. Drôle d’ambiance. On se retrouve ici car j’ai choisis un mouillage facile sur du sable et que bah c’était plus joli sur la photo du bouquin ! :) Nous prendrons une tortilla sur le port en écoutant discrètement un groupe de français qui discute entre eux ; chômage, traiders, rmi, paresseux… Voué bon aller on finit l’assiette et on s’en va !

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